Pour aider à lutter contre les inégalités d’accès aux formations en distanciels et à toutes autres fins utiles, des enquêtes ont lieu un peu partout sur les conditions de vie et d’études des étudiants en cette période de confinement. On cite par exemple l’enquête de Rennes 2. Avec 3468 répondants sur 48 heures, cette enquête a rencontré un réel succès.

Juste pour alimenter la réflexion :

  • Une question : les non-répondants sont-ils des non-connectés à ajouter aux nombres utilisés pour chiffrer la fracture numérique (ou bien simplement les habituels abstentionnistes) ?
  • Et une observation : au-delà du recensement objectif des moyens dont disposent les étudiants, les questionnaires se focalisent souvent sur les difficultés rencontrées. Or il doit bien y avoir quelques points positifs à identifier, ceux qui notamment permettraient de passer d’une « adaptation pédagogique » à une « transformation » durable et positive…

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